Aujourd'hui, je n'avais rien à faire, alors j'ai décidé d'aller sur Internet pour vérifier ma vitesse de frappe. Puis j'étais tombé sur ce texte, intitulé "de la bonne écriture accentuée" qui, fortuitement, était écrit dans la langue de Molière. Aussi, j'eus pensé que c'était une formidable occasion pour m'adonner à la pratique de mon clavier. Le cliquetis des touches sautillantes sous mes doigts me donna une inspiration subite pour la rédaction de ce texte, qui, d'un premier abord semble tout simple. En réalité, je venais de tomber dans le sournois piège tendu par la frénésie de la dactylographie. C'est alors qu'un maelström d'accents déboule en un pangramme plutôt célèbre : dès Noël où un zéphyr haï me vêt de glaçons würmiens je dîne d’exquis rôtis de bœuf au kir à l’aÿ d’âge mûr. Cela dit, après avoir encaissé une si brusque bourrasque d'accents, je ne pouvais que me réjouir de connaître mon clavier à tel point qu'il m'était possible de balayer les accents de chaque lettre de cette magnifique langue qu'est le Français sans hésitation, sans grand temps de pause. À ce moment-là, je pus retourner vaquer à mes occupations. Cordialement.