Tout le monde devrait savoir taper correctement à la machine. Cette dernière est devenue presque indispensable à chaque membre d'un foyer. Toute personne quelle que soit son occupation devra un jour ou l'autre, utiliser le clavier de la machine à écrire ou celui d'un micro-ordinateur. Si elle ne sait pas taper correctement, elle dira tout sa vie : « Ah, si j'avais appris le bon doigté ». Saviez-vous qu'au moins un cinquième de tous les « cols blancs » doivent taper à la machine pour gagner leur vie ? Beaucoup d'entre eux ne tapent qu'à une fraction de leur potentiel. Ils ne donnent aussi qu'une fraction du rendement qu'on pourrait espérer d'eux. Plus la technologie avance, plus la nécessité d'engager un dactylographe compétent est évidente. Vous retrouverez le clavier de la machine à écrire sur les machines comptables, sur les appareils de télécommunication, sur les ordinateurs, etc. Sans la machine à écrire, le bureau tel que nous le connaissons aujourd'hui serait inexistant. Il n'est pas exagéré de dire que la vie économique du pays serait réduite de plus de cinquante pour cent. Un manuel de dactylographie n'est et ne sera jamais parfaitement à jour. En effet, les ingénieurs au service des fabricants de machines à écrire ajoutent des organes à la machine, en perfectionnent d'autres, en changent l'emplacement, etc. Leur but premier est de présenter un meilleur produit que leurs concurrents et, indirectement de vous faciliter le travail. Lisez les messages publicitaires des constructeurs.