s’habituent à la violence comme on s’habitue à la pluie.
Autour d’eux, la haine devient langue commune, respiration ordinaire.
L’homme n’élève plus son frère — il le piétine, le juge, s’en nourrit pour exister un peu plus.
Sur l’échiquier du monde, rois, pions, et dames avancent avec orgueil…
Mais au terme de la partie, il ne reste qu’un vainqueur — et c’est rarement la vie.
Daniel Naroditsky, ton éclat demeure,
là où la lumière refuse encore de mourir.
On vit dans la haine
Pour le moment, je vais me coucher parce qu'il est tard... et je vous souhaite bonne nuit et bonne chance avec 787738515910819907
poignées de main
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